Un plaidoyer sur la redistribution des richesses… mais si mais si… ainsi tout le monde serait heureux.
A voir et à écouter Barry Schwartz nous parle du paradoxe du choix, il soulève un problème des sociétés occidentales opulentes.
« Why more is less »
Il fait le constat que plus on a le choix, plus on est libre. Mais le choix à des effets :
- La paralysie plutôt que la libération, trop choix fait que l’on est amené à remettre à plus tard le choix.
- Le regret de la décision, dès lors que l’on surmonte l’indécision face au choix, on regrette peut être qu’une autre alternative est meilleure à celle faite.
- La valeur des choses, le coût d’opportunité se soustrait à notre satisfaction
- L’escalade des attentes, plus les options augmentent et plus les attentes sur la qualités de ces attentes augmentent. On y gagne que l’on a moins de satisfaction, même si les résultats de la décision sont bons.
Finalement, le mieux c’est le pire… pourquoi ? je peux avoir de bonnes surprises. Le bonheur , c’est avoir de faibles attentes.
Quand les gens prennent des décisions mêmes si celles-ci sont bonnes, ils se sentent déçus et s’en veulent.
En savoir plus sur Barry Schwartz :